Explosion de joie à Goma après le déclenchement de l’offensive des Fardc

Publié le par Cornelis Nlandu-Tsasa

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Quotidien du vendredi 7 décembre 2007
 
 
RDC – INFOS NATIONALES
 
Explosion de joie à Goma
 
Kinshasa - L’offensive menée dans les territoires de Rutshuru et Masisi, dans la province du Nord-Kivu, par les Forces armées de la RDC (FARDC) contre les éléments dissidents du général déchu, redonne l’espérance aux populations meurtries et exaspérées de cette partie du pays, a-t-on appris de Goma, de bonne source au téléphone.
sud-kivu-10.gifEn effet, le contrôle, lundi le jour du début de l’offensive, des localités de Sake, Kimoka, Malette et Kingi, dans le territoire de Masisi par les FARDC et l’avancée des troupes loyalistes sur les dissidents de Nkundabatware a donné lieu à une explosion de joie à Goma, chef-lieu de province, où les Congolais n’ont pas tari d’éloges à leurs vaillants compatriotes soldats engagés dans ces affrontements.
Selon la source, brandissant des rameaux et scandant des slogans hostiles aux ennemis de la patrie, les habitants de Goma ont défilé pour démonter la force de frappe de la nouvelle armée républicaine en gestation. Ils ont à cette occasion défié l’insécurité qui sévit dans cette ville. Avec la couverture aérienne des hélicoptères de combat, les forces terrestres pilonnent les flancs des montagnes et collines, transformés en cachettes des insurgés à la recherche d’un saint protecteur. Les sources militaires se réservent de communiquer le bilan des affrontements en leur faveur.
 
13 soldats tués dans la prise de Mushake, l’armée continue à avancer
 
Kinshasa - Les Fardc ont continué jeudi à progresser contre les troupes insurgées au Nord-Kivu, après la prise du village de Mushake qui s’est soldée par la mort d’au moins 13 soldats loyalistes.
Le président Joseph Kabila a promis de rétablir «rapidement» la paix et la sécurité dans cette région où l’armée combat depuis quatre jours les troupes insurgées, lors d’un discours jeudi à Kinshasa sur l’état de la Nation.
«Le gouvernement est déterminé à tout mettre en oeuvre pour rétablir rapidement et durablement la paix et la sécurité dans les deux territoires du Nord-Kivu encore en proie à des troubles», a déclaré le chef de l’Etat en remerciant les soldats de l’armée pour les «sacrifices consentis».
Le colonel Delphin Kahimbi, commandant en second des FARDC au Nord-Kivu, avait un peu plus tôt annoncé la mort de 13 militaires dans la prise la veille de Mushake. Un quatorzième soldat se trouvait, selon lui, dans un état critique. Le responsable militaire a affirmé que les pertes dans les rangs des soldats insurgés ralliés au général déchu étaient «beaucoup plus importantes», évoquant «plusieurs dizaines» de tués.
Depuis le début de l’offensive lancée lundi dans le territoire de Masisi, au Nord-Ouest de Goma, chef-lieu de la province, la Mission de l’ONU en RDC (Monuc), qui fournit un appui logistique à l’armée, a évacué 76 soldats loyalistes blessés.
Mercredi, après avoir copieusement pilonné Mushake, les FARDC se sont emparées du village et de toutes les collines alentour, avaient constaté des journalistes de l’AFP.
Jeudi, les FARDC continuaient à progresser vers Kirolirwe (un des bastions de Nkunda, à une dizaine de km au Nord-Est), mais aucun combat de forte intensité n’avait dans l’immédiat été signalé, selon le major Vivek Goyal, porte-parole militaire de la Monuc au Nord-Kivu.
Joint par l’AFP, le porte-parole du Congrès national pour la défense du peuple (mouvement politico-militaire de Nkunda) a minimisé l’impact de la chute de Mushake, affirmant que les FARDC étaient entrées dans le village après le retrait des insurgés. «Mushake n’était pas un lieu stratégique, ni un quartier général du CNDP», a prétendu le porte-parole, René Abandi, assurant que les troupes de Nkunda s’étaient retirées pour «épargner les populations civiles». Mais lorsque l’on connaît la politique du mensonge des ces gens, qui ont tué et violé les populations civiles en nombre, on ne peut accorder que peu de crédit à ces allégations.
La semaine dernière, des journalistes de l’AFP s’étaient rendus à Mushake, alors occupé par des insurgés qui avaient affirmé y avoir un «état-major opérationnel». La quasi-totalité de la population du village avait déjà pris la fuite. Joint jeudi sur les hauteurs de Mushake, le colonel loyaliste John Tshibangu a affirmé que ses hommes ne cessaient de gagner du terrain. De son côté, le colonel Kahimbi a estimé que l’armée pourrait être «dans la soirée» aux abords de Kirolirwe.
Laurent Nkunda dispose d’une base près de cette localité, où la Monuc a déployé des Casques bleus non loin d’un camp abritant quelque 14.000 déplacés, essentiellement tutsi, ayant fui les combats.
 
Les soldats loyalistes savourent leur victoire contre Nkunda, a constaté l’AFP
 
Danse-des-militaires.jpgMushake - «Vive la 14ème brigade - Nkunda = exil», clame un trait de craie sur un mur de Mushake, village «libéré» par les FARDC. Les soldats savourent leur victoire, alors que retentissent encore des tirs dans les collines alentour. Les libérateurs accueillent la presse avec le sourire du conquérant. «Trois jours à dormir dans les collines, sous la pluie! Mais on les a eus, finalement!», lance un soldat.
«Nous avons terminé à coup de grenades et au corps-à-corps, mais il ne restait déjà plus grand monde», affirme le lieutenant Michel Malikoko, de la 3ème brigade, légèrement blessé à la main.
Le village, qui comptait encore une centaine de familles tutsi la semaine dernière, a été déserté par ses habitants. Les seuls civils qui le traversent, au milieu d’une nuée d’uniformes vert olive, portent les paquetages des militaires depuis Karuba (à une dizaine de km au Sud-Ouest).
«Aujourd’hui, nous avons pris un lieu stratégique», se réjouit le colonel John Tshibangu de la 14ème brigade, qui a conduit l’offensive et «dégagé la route vers Kirolirwe et Kitchanga», bastions de Nkunda situés plus au Nord. «Nos hommes sont en train de harceler l’ennemi. Ils sont déjà à 5 km de Kirolirwe», affirme le colonel, prenant la pause-photo, mitrailleuse en main.
Non loin, le major André Elonza surveille le déchargement de dizaines de caisses de munitions d’un camion. «Oui, ils se croyaient très forts, mais ils ont détalé», dit-il dans un grand rire à un soldat via la radio de campagne.
Une fois les munitions déchargées, les soldats jettent pèle-mêle tout ce qu’ils ont pu rafler dans le village : tabourets, fauteuils, tables en bois, bidons. «Non, ce n’est pas le butin de guerre. Nous les ramènerons aux habitants quand ils seront revenus», avance le lieutenant Malikoko.
A l’écart, trois soldats grignotent des biscuits en buvant de la bière. Ils reviennent tout juste du front, deux collines plus loin, où ils ont «sécurisé» leurs positions. L’officier chargé de la distribution des rations note dûment les biscuits et bonbons donnés sur son registre.
 
Nkundabatware levait des taxes, comme un vrai seigneur de guerre
 
Tous affirment ne manquer de rien. «Nous sommes l’armée du gouvernement, quand même. Nkunda devrait réfléchir, parce qu’il avait le choix de rendre les armes au lieu de faire venir la guerre dans ce pays», affirme un soldat mal rasé, l’air épuisé mais toujours confiant. «Regardez ce que Nkunda faisait ici!», lance une jeune militaire, brandissant un épais cahier rempli de vignettes détachables de «taxe marché» de 50 francs congolais (0,1 dollar), des taxes illégales imposées par les insurgés dans les zones sous leur contrôle.
Soudain, une énorme détonation déchire le ciel. «Ne vous inquiétez pas, si vous entendez la détonation, c’est que vous êtes vivant parce que la roquette est déjà loin», rassure le lieutenant Malikoko. «C’est nous qui tirons, pour appuyer les hommes qui avancent vers Kirolirwe», ajoute-t-il avant d’inviter la presse à venir admirer les tirs, depuis une colline voisine où sont installés lance-roquettes multiples et petite batterie d’artillerie.
Dans cette guerre des collines, où les détonations se succèdent mais où les traces des combats se perdent dans la verdure, le colonel Tshibangu assure n’avoir perdu qu’un soldat et évacué «quelques blessés».
 
La RDC abritera le siège régional Afrique centrale de l’OIM
 
Kinshasa - La ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale, Marie-Ange Lukiana, a participé du 26 novembre au 3 décembre 2007 à Genève, en Suisse, à la 94ème session du conseil de l’Organisation Internationale de Migration (OIM), à l’issue de laquelle la candidature de la RDC a été retenue pour abriter le siège régional de l’Afrique centrale de l’OIM.
Cette session a examiné et adopté plusieurs axes dont notamment l’installation du siège régional de l’Afrique centrale de l’OIM, la question de migration ayant comme finalité la lutte contre la pauvreté ainsi que l’examen des candidatures à la délégation générale de l’OIM. Frappée il y a quelques temps, pour non paiement des cotisations, la RDC a été réadmise à siéger à l’OIM grâce au paiement, par le gouvernement, de ses arriérés, a relevé la ministre.
 
Les participants au festival « Yambi » à l’honneur
 
Kinshasa - Des diplômes d’honneur et des prix constitués des livres de l’historien belge Giddo Convents sur « L’image et démocratie » ont été remis mercredi au Centre culturel congolais « Le Zoo » aux cinéastes Guy Kabeya, Clariste Movubu et à Mme Shouma Mangondo pour la qualité de leurs films projetés au festival « Yambi » en Belgique.celtel-dame.jpg
Un diplôme d’honneur a été également remis à M. Guido Convents par l’association congolaise des critiques cinématographiques (ACCC) pour les efforts fournis dans la présentation et la rédaction de son livre qui retrace l’histoire du cinéma congolais de 1896 à 2006. M. Marc Koren, conseiller de la délégation française et la région wallonne, a loué le talent dont regorgent les cinéastes congolais, qui se soucient d’abord de la production et non de l’argent. La rencontre culturelle Yambi, a-t-il dit, « est un processus où on informe les artistes à revenir à leur métier ».
Le président de l’ACCC, Georges Nzuzi, a présenté le programme de son association qui vise essentiellement à promouvoir les créateurs congolais et leurs œuvres, et à accompagner le gouvernement dans sa lourde tâche de la promotion culturelle. Le belge Guido Convents dont le livre a servi de support durant ce festival s’est dit satisfait du déroulement des travaux à Kinshasa et au Bas-Congo, avant de louer l’intérêt que les jeunes congolais accordent au cinéma.
Yambi a été sponsorisé par plusieurs entreprises congolaises dont Celtel, une des plus grandes sociétés spécialisées dans la téléphonie mobile en RDC.
 
 
PROVINCES
 
100.000 USD pour maintenir le trafic sur le pont Dibongo
 
Matadi -. Les travaux d’urgence pour le maintien du trafic sur le pont Dibongo (Débarcadère) reliant la ville de Matadi à la station de captage, de traitement et de refoulement d’eau de la Regideso nécessitent un financement de l’ordre de 100.000 USD, a-t-on appris mardi de source proche du ministère provincial de l’Energie du Bas-Congo. Selon la source, cette somme permettra à l’OVD (Office des voiries et drainage)/Matadi de réhabiliter la structure métallique de l’ouvrage actuellement en état de délabrement avancé.
Le manque d’entretien de cet ouvrage d’art, plusieurs années durant, serait, selon des spécialistes du domaine, à la base de l’effondrement de ce pont, a souligné la même source, ajoutant que si l’on n’y prenait garde, cela empêcherait l’accès à l’équipe technique de la Regideso vers la station de captage et de traitement d’eau, avec comme conséquence la rupture de la fourniture de l’eau potable dans une partie de la ville portuaire.  
 
Six élèves tués dans le naufrage d'une pirogue à Kwenge
 
Kikwit - Six élèves dont trois filles du Lycée Kwamina, un garçon de l'institut Kimvuka et deux garçons du Centre professionnel de Kingandu, mission catholique située a 160 km de Kikwit, dans le secteur de Kisunzu, territoire de Gungu, ont trouvé la mort dimanche au cour du naufrage de la pirogue qui les transportait sur la rivière Kwenge.
Selon les voyageurs en provenance de cette mission, qui ont livré l'information, les élèves qui revenaient de leur village vers Pay Kongila voulaient rejoindre leurs établissements scolaires, après avoir passé le week-end en famille lorsqu’ils ont été surpris par un mauvais temps en pleine rivière. Le manque d'expérience et de maîtrise du piroguier, qui conduisait à l'absence de son père, serait également à la base de l’accident. Ce dernier s'est sauvé, abandonnant les pauvres élèves à leur sort, conclut la source.
 
Recrudescence de tracasseries policières à Bakwa Nsumpi
 
Lupatapata - Les membres du conseil de sécurité du territoire de Lupatapata, district de Tshilenge, réunis dernièrement, se sont déclarés très préoccupés par l’insécurité croissante caractérisée par la présence des éléments incontrôlés de la Police nationale et des FARDC qui s’adonnent aux tracasseries sur les différents axes routiers reliant les secteurs de Mulenda à celui de Musembi.
Sur ces tronçons, piétons et cyclistes subissent le calvaire de la part des services de l’Etat, qui ont érigé des barrières illégales, inconnues par l’entité, apprend-on à Lupatapata. Face à cette résurgence des cas d’insécurité, le conseil territorial de sécurité a arrêté des stratégies sécuritaires en vue de mettre un terme à cette anarchie, avant de préconiser des sanctions sévères à leurs auteurs.
L’état des lieux des routes, la suspension des études des dossiers des pouvoirs coutumiers à travers toute l’entité jusqu’à nouvel ordre ainsi que l’interpellation des propriétaires des comptoirs d’achats de diamant pour qu’ils libèrent les taxes du trésor public sans contrainte, ont également été abordés au cours de cette séance dirigée par M. Pascal Manda, Administrateur territorial de Lupatapata.
 
 
ECONOMIE
 
La DGRAD inquiète de la position des députés nationaux
 
billets-congolais.jpgKinshasa - La délégation syndicale de la Direction générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales et des participations (DGRAD) a adressé un mémo aux députés nationaux pour exprimer son inquiétude face à la position des élus qui proposent la réforme ou la suppression de cette régie.
Selon un document parvenu jeudi, la création de la DGRAD est justifiée par le constat d’échecs des procédures et méthodes d’encadrement ou de mobilisation des recettes non fiscales de l’Etat au profit du trésor public. Le mémo souligne que les recettes non fiscales qui contribuaient à plus de 23 % au budget de l’Etat vers les années 60 n’ont pas atteint 2 % avant 1995 avec la consommation à la source, la minoration systématique de la base taxable et la fraude documentaire.
C’est ainsi qu’avec le concours des partenaires multilatéraux fut créé, le 27 décembre 1995 par le décret n° 058, un service doté d’une autonomie administrative et financière dénommée DGRAD, avec comme charge principale l’encadrement et la centralisation au compte général du trésor de toutes les recettes générées au niveau de différentes administrations de l’Etat.
 
Des investisseurs nord-coréens pour un partenariat avec la MIBA
 
Mbuji-Mayi - Des investisseurs nord-coréens se sont entretenus le week-end dernier avec les responsables de la MIBA (Minière de Bakwanga) en vue d’un partenariat pour l’exploitation commune de diamant, indique un communiqué de presse reçu dernièrement. Selon la source, ce partenariat est axé sur la finalisation d’un projet de financement pour la relance de la société minière.
Pour sa part, le PAD de la MIBA, Kabongo Mfwila, a indiqué que ce financement va permettre la création d’une filiale qui sera gérée à 100 % par la MIBA. Le montant du financement est de l’ordre de trente millions de dollars (30.000.000 USD), qui servira également à la paie des agents et au renouvellement des engins, précise-t-on. La fête des mineurs commémorée chaque année, a été célébrée dans la méditation par les agents de la MIBA qui accusent un retard de paiement de douze mois.
 
 
AFRIQUE
 
Bush sollicite le soutien de Kadhafi pour ramener la paix dans le monde
 
kadhafi.jpgBruxelles - Le Président américain George W. Bush a fait part, mercredi, de son souhait de travailler avec le dirigeant libyen, Muammar Kadhafi, pour l’instauration de la paix dans le monde, ont annoncé des stations de radio citant les services d’information de la Maison Blanche.
Dans une correspondance envoyée au colonel Kadhafi à quelques jours des fêtes musulmanes (Aïd el Adha) et des fins d’année (Noël), George Bush invite le colonel Kadhafi à collaborer avec lui pour l’instauration de la liberté et de la paix dans le monde.
Après que les Etats-Unis aient rayé la Libye de la liste des pays qui financent le terrorisme, Washington et Tripoli avaient normalisé leurs relations en 2004 et le représentant des Etats-Unis en Libye a été élevé au rang d’ambassadeur plénipotentiaire. Les relations diplomatiques entre les deux pays, interrompues en 1981, n’ont été rétablies qu’en 2004 et, depuis lors, les relations bilatérales n’ont cessé de s’améliorer.
Dans cette mouvance, de nombreuses firmes américaines ont pu décrocher plusieurs contrats d’exploration pétrolière en Libye, devenue à nouveau fréquentable. Les Etats-Unis ont ensuite été suivis par d’autres pays occidentaux comme la France.
 
La réunion ministérielle UE-Afrique plaide pour la promotion du partenariat
 
Kinshasa - Une réunion ministérielle rassemblant quelque 80 ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne et d'Afrique s'est terminée mercredi dans la ville balnéaire de Charm el-Cheikh par l'adoption d'un communiqué final.
Selon des médias internationaux reçus à Kinshasa jeudi, cette réunion ministérielle, qui s’est tenue dans le cadre des préparatifs du sommet UE-Afrique prévu à Lisbonne au Portugal, les 8 et 9 décembre, a été axée sur plusieurs sujets liés à ce sommet devant permettre de promouvoir et de renforcer le partenariat entre les deux parties.
Les participants se sont dits confiants que le sommet de Lisbonne donnerait un nouvel élan au processus lancé lors du premier sommet UE-Afrique en 2000 au Caire. Les ministres et chefs de délégation présents à la réunion ont discuté des projets de documents préparés lors de la réunion entre l'Afrique et la troïka européenne, notamment le Partenariat stratégique UE-Afrique et le premier plan d'action, qui doivent être avalisés à Lisbonne.
 
Le Signal du Continent
Avec l’ACP et l’APA
 
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