Quand on était Zaïrois : Etait-ce mieux que sous Kabila ?

Publié le par Jean-Cornelis Nlandu-Tsasa

Bruxelles, 30 jan - Le président Joseph Kabila a tenu une conférence de presse à Kinshasa, mercredi, au cours de laquelle, pour l'une de ses rares apparitions, il a semblé avoir sensiblement amélioré sa locution mais a sombré dans une lecture d'un texte truffé de telles invraissemblances qu'il a suscité un tollé de la part des observateurs. 

Pour le cardinal Monsengwo, désormais très critique à l'égard de Kinshasa depuis la profanation des lieux de culte catholiques les 31 décembre 2017 et 21 janvier courant à l'occasion de la répression sauvage des marches pacifiques des chrétiens, l'adresse du chef de l'Etat congolais ressemblait plus à "une loghorée écoeurante et inutile", vu la litanie de mensonges qui l'émaillait, notamment lorsqu'il affirme que "le Congo se porte mieux".

Ci-après un autre document reçu par notre rédaction et qui résume la désapprobation des propos tenus par Joseph Kabila ;

 

*QUAND ON ÉTAIT ZAÏROIS !!!!!*

Je me souviens à l'époque quand on était Zaïrois, nous étions respectés par tous nos pays voisins, en l'occurrence le Rwanda, Burundi, Ouganda, etc...;

*Quand on était Zaïrois,* nous étions en possession d'une carte d'identité;

*Quand on était Zaïrois,* la ville de Kinshasa était bien urbanisée si bien qu'en cas des pluies diluviennes on n'enregistrait pas autant des morts qu'aujourd'hui et on ne comptait pas des poubelles polluant la ville en occasionnant des maladies et épidémies;

*Quand on était Zaïrois,* nos "Léopards" avaient emporté par 2 fois la compétition africaine de CAN et ont participé à la Coupe du monde;

*Quand on était zairois,* les Sud-africains se faisaient soigner au Zaïre, aujourd'hui c'est le contraire;

*Quand on était Zaïrois,* un diplômé d'État avait le niveau qu'a aujourd'hui un licencié. Plus important, le Zaïre  comptait comme étudiants, certains étrangers dans ses Alma mater;

*Quand on était Zaïrois,*  on a jamais connu,  en pompe, des évasions dans les prisons;

*Quand on était Zaïrois,*  on a jamais connu un non juriste devenir  Magistrat, plus grave un Chef de juridiction; 

*Quand on était Zaïrois,* on a jamais connu autant des rébellions et foyers de tension dans notre pays. Aucun millimètre du territoire n'était longtemps occupé  par les armées étrangères ; 

*Quand on était Zaïrois,* on a connu l'unité du pays au point que quiconque pouvait sillonner à temps et à contretemps le Zaïre sans aucune inquiétude;

*Quand on était Zaïrois,* on a jamais connu les attaques militaires dans les églises;

*Quand on était Zaïrois,*  l'exercice du pétit commerce était réservé  aux nationaux; 

*Quand on était Zaïrois,*  on a connu une compagnie d'aviation stable comme Air Zaïre comptant des avions, CMZ avec ses propres navires et que sais-je encore?;

*Quand on était Zaïrois,*  on a jamais connu la braderie et spoliation des biens et patrimoines de l'État; 

*Quand on était Zaïrois,* quelque soit la crise, on comptait les bourses d'études et le panier de la ménagère zaïrois était assuré; 

*Quand on était zaïrois,* les étudiants mangeaient deux fois par jour aux fais de l' État, et ils avaient des bourses;

*Quand on était zaïrois*, on n' a jamais connu des kuluna qui terrorisent le peuple comme aujourd'hui;

*Quand on était Zaïrois...* ( À  compléter )

cours de laquelle le chef d'Etat congolais,  pour l'une de ses rares apparitions, à semblé avoir amélioré sa locution mais a sombré dans une lecture d'un texte truffé d'invraissemblances criantes.

Pour le cardinal Monsengwo, désormais très critique envers Kinshasa depuis la profanation des lieux de culte catholiques à l'occasion des répressions sauvages des marches pacifiques des chrétiens les 31 décembre 2017 et 21 janvier courant, l'adresse de Kabila était plutôt une loghorée écoeurante et inutile, vu la litanie de mensonges qui l'émaillait.

Ci-après un autre document reçu par notre rédaction contredisant les affirmations du président congolais à cette occasion :

"Je me souviens à l'époque quand on était Zaïrois, nous étions respectés par tous nos pays voisins, en l'occurrence le Rwanda, Burundi, Ouganda, etc...;

*Quand on était Zaïrois,* nous étions en possession d'une carte d'identité;

*Quand on était Zaïrois,* la ville de Kinshasa était bien urbanisée si bien qu'en cas des pluies diluviennes on n'enregistrait pas autant des morts qu'aujourd'hui et on ne comptait pas des poubelles polluant la ville en occasionnant des maladies et épidémies;

*Quand on était Zaïrois,* nos "Léopards" avaient emporté par 2 fois la compétition africaine de CAN et ont participé à la Coupe du monde;

*Quand on était zairois,* les Sud-africains se faisaient soigner au Zaïre, aujourd'hui c'est le contraire;

*Quand on était Zaïrois,* un diplômé d'État avait le niveau qu'a aujourd'hui un licencié. Plus important, le Zaïre  comptait comme étudiants, certains étrangers dans ses Alma mater;

*Quand on était Zaïrois,*  on a jamais connu,  en pompe, des évasions dans les prisons;

*Quand on était Zaïrois,*  on a jamais connu un non juriste devenir  Magistrat, plus grave un Chef de juridiction; 

*Quand on était Zaïrois,* on a jamais connu autant des rébellions et foyers de tension dans notre pays. Aucun millimètre du territoire n'était longtemps occupé  par les armées étrangères ; 

*Quand on était Zaïrois,* on a connu l'unité du pays au point que quiconque pouvait sillonner à temps et à contretemps le Zaïre sans aucune inquiétude;

*Quand on était Zaïrois,* on a jamais connu les attaques militaires dans les églises;

*Quand on était Zaïrois,*  l'exercice du pétit commerce était réservé  aux nationaux; 

*Quand on était Zaïrois,*  on a connu une compagnie d'aviation stable comme Air Zaïre comptant des avions, CMZ avec ses propres navires et que sais-je encore?;

*Quand on était Zaïrois,*  on a jamais connu la braderie et spoliation des biens et patrimoines de l'État; 

*Quand on était Zaïrois,* quelque soit la crise, on comptait les bourses d'études et le panier de la ménagère zaïrois était assuré; 

*Quand on était zaïrois,* les étudiants mangeaient deux fois par jour aux fais de l' État, et ils avaient des bourses;

*Quand on était zaïrois*, on n' a jamais connu des kuluna qui terrorisent le peuple comme aujourd'hui;

*Quand on était Zaïrois...* ( À  compléter )

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